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10 août 2008 7 10 /08 /août /2008 15:22
Mon petit frère et sa petite famille sont venus nous rendre une petite visite. Mon homme et son âme vagabonde nous ont amené à beaucoup bouger. Ainsi nous leur avons montrer quelques sites sympathiques. Ce premier diaporama vous en montre un petit aperçu.
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2 août 2008 6 02 /08 /août /2008 12:00
Je trouvais ce support à pot de fleurs original et beau, alors je n'ai pu m'empêcher de le photographier chez ma grand-mère. Mamie adore les fleurs et il y en a un peu partout dans son jardin. Pour les Loulous c'est leçon de botanique...
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1 août 2008 5 01 /08 /août /2008 15:27

Je vous propose cette définition :


"Le Caractère, c'est d'abord de négliger d'être outragé ou abandonné par les siens."

 Général De Gaulle


Je pense qu'il savait de quoi il parlait, en la matière.

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1 août 2008 5 01 /08 /août /2008 15:20


Il y a des temps - et je crois que celui-ci en est un - où il ne suffit pas de dire la vérité, il faut la crier.


Gilbert CESBRON 


Parfois il faut effectivement parler et encore parler de + en + fort pour que la vérité  éclate enfin, pour être entendu, tant certaines personnes, et nos politiques sont concernés, sont sourdes ou aveuglées par des considérations financières ou subissent des pression des lobbies.

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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 15:59
Le "chef" vous propose sa salade maison de foie.
Très souvent je les fais en fonction de mes envies du jour et du contenu de mon frigo....

Ici :
- quelques foies de volailles préalablement cuits et légèrement croustillants ( je les dispose encore chauds sur la salade)
- 1/2 tomate et 3 tomates cerises coupées
- du gruyère coupé en petits carrés
- un peu de riz
- 1 carotte coupée en petits dés
- 4 ou 5 radis coupés en rondelles
- 1 oeuf coupé en petits morceaux
- quelques feuilles de salades
- 4 ou 5 olives
- des 8 à 10 cerneaux de noix
Parsemer le tout de persil, basilic et ciboulette ciselés et mettez la vinaigrette de votre choix

A table et bon appétit ! ! !
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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 15:49
Nous profitons du repos de mon homme pour aller faire une petite balade à Saint Florent, dans le Nebbio, avec une pose pique-nique sur la plage pour ravir notre Loulou.  
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28 juillet 2008 1 28 /07 /juillet /2008 16:06
C'est ce navire qui avait été arraisonné par de pirates dans les eaux soudanaises. Des militaires étaient intervenus pour libérer les otages. Et bien ce joli bateau qui a fait beaucoup parlé de lui, je vous le présente, pour ceux qui ne l'aurait pas vu. En balade à du côté de Bonifaccio  par la mer nous avons eu la chance de le voir amarrer dans le port de Bonifaccio.
Derrière vous apercevez la citadelle de Bonifaccio et ses remparts. Sur la droite, le bâtiment correspond à l'ancienne caserne de la Légion Etrangère Parachutiste, qui maintenant est à Calvi.  
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28 juillet 2008 1 28 /07 /juillet /2008 15:59

Je viens d’achever la lecture de ce magazine que j’aime toujours lire tant il est intéressant et ouvre l’esprit sur certains aspects de la parentalité et du maternage.

Au 1er abord le titre du dossier peut apparaître peut intéressant quand on n’est pas concerner par le sujet mais les thèmes abordés nous montre tout le contraire : portage, construction du lien mère-enfant, allaitement, le déracinement, maternage…Tous ces sujets peuvent être rapporter à ce que l’on vit tous les jours que ce soit un enfant adopté ou non.

Ce que j’en  retire : si la construction du lien mère-enfant est très importante lors de la naissance de son enfant et que cela favorise l’émergence du sentiment de sécurité, de confiance chez le nourrisson elle est d’autant + importante pour les enfants adoptés et je dirais même primordiale. Ces enfants ont besoin de ce sentiment de sécurité car ce qu’ils ont vécu, ils l’apporte avec eux et les parents adoptant doivent apprendre à faire avec et aider l’enfant à vivre avec ce baluchon parfois très lourd. En tant que parent, il nous faut être à l’écoute de notre enfant. Là c’est encore + vrai. Mais quelle richesse, quels échanges, que d’amour à partager… Ce dossier m’a conforté dans mes choix d’allaitement, de portage, d’écoute….

Comme à l’accoutumée il y a aussi un article :

-         sur le portage,

-         sur ce faire signe pour grandir : comment dire « gâteau »

Mais aussi des articles relatifs :

-         à l’hydrolathérapie et ses avantages auprès des enfants et des petits

-         masser bébé

-         un interview d’Olivier Maurel.  Il prépare un  nouveau livre relatif à la répercussion de la violence éducative sur l’ensemble de la culture humaine.

-         Sur la construction de lettres rugueuses « Montessori »

-         Des petits livres sympa pour enfants mais ayant du contenant et du contenu …

Bref plein de bonnes choses.

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28 juillet 2008 1 28 /07 /juillet /2008 14:51
Il me restait un peu de ratatouille te je ne savais par trop quoi faire avec pour l'accommoder. Du coup j'ai essayé en faisant une omelette et franchement c'est super bon.

J'ai battu mes oeufs, salé, poivré, quelques herbes de Provence et j'ai ajouté ma ratatouille. Tout en remuant régulièrement sur feu doux.

Cela m'a fait un peu penser à la Piperade que j'avais mangé au Pays Basque.
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28 juillet 2008 1 28 /07 /juillet /2008 08:43

Ce post est en partie tiré d’un article paru dans le Hors Série Politis de mai-juin 2008 : Commerce bio et équitable - enjeux et dérives. Il m’a donné à réfléchir.

Selon Véronique Gallais l'irradiation des aliments pose des problèmes, sanitaires, socio-économiques et environnementaux, Pour elle c'est une des raisons pour privilégier les achats directs au producteur, à la ferme, au marché ou dans des Amap association de maintien de l’agriculteur en place.
           En clair :l'irradiation ne rend pas les produits alimentaires radioactifs, mais elle provoque une perte d'éléments nutritifs et de vitamines, et présente des risques de cancérogénèse et de mutagénèse.

 

            Des consommateurs de plus en plus nombreux affichent leur sympathie pour les
 produits bios et le commerce équitable. Une partie d'entre eux, un nombre croissant de personnes et de familles, ont décidé de « passer à l'acte » et d'acheter bio ou équitable, de façon plus ou moins régulière, plus ou moins ciblée sur certains produits ou certains modes d'approvisionnement. Toutefois, la place des alternatives dans les achats reste très minoritaire.
 En effet la part de marché du bio, par exemple, est inférieure à 2 % du secteur alimentaire, dont environ 40 % en grandes et moyennes surfaces. Il est pourtant urgent d'agir. Car l'industrie va vite, et l'étau se resserre. En atteste la progression dans le monde de l'irradiation des aliments, un instrument méconnu de la mondialisation néolibérale et des modes de
 production et de distribution hyper-industrialisés.
 
            L'irradiation des aliments, officiellement appelée « ionisation », est une technologie nucléaire utilisée pour :

- assainir les denrées,

- ralentir le mûrissement,

- inhiber la germination et donc mieux conserver,  mais parfois seulement en
 apparence.

Elle permet surtout de contourner - au moins en partie - l'usage de produits chimiques dont la toxicité est maintenant largement avérée et peu populaire. Elle est plus souple d'utilisation que la surgélation qui est contraignante du fait du maintien de la chaîne du froid. De plus elle peut être appliquée à quasiment tous les types de produits, y compris les aliments frais, à l'inverse des traitements par la chaleur.
 
            L'irradiation ne rend pas les produits alimentaires radioactifs, mais elle provoque une perte d'éléments nutritifs et de vitamines, et présente des risques de cancérogénèse et de mutagénèse, au risque de me répéter. Elle est susceptible d'être utilisée comme substitut à de bonnes méthodes sanitaires de production. Elle peut favoriser le développement d'agents pathogènes plus résistants, l'équilibre microbiologique de l'aliment irradié étant fragilisé.           Pourtant, le dernier rapport de l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (Afssa) sur l'irradiation des aliments, en 2007, confirme l'innocuité de cette technologie, dans une approche hygiéniste du risque sanitaire. Au lieu  d'analyser les causes de l'augmentation des pathogènes, les normes sont de plus en plus calibrées sur les besoins de production et de commercialisation industrielles de masse.

 L'OMS reconnaît que « la chaîne de production alimentaire est devenue plus complexe, multipliant les possibilités de contamination et de développement des agents pathogènes » (cf. « Salubrité des aliments et maladies d'origine alimentaire », OMS,), mais sans aller jusqu'à en tirer les conséquences. Ainsi, le Codex alimentarius, référence pour l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), autorise  l'irradiation pour tous types de produits alimentaires, en se référant à des avis et rapports de la commission mixte FAO-AIEA-OMS, l'AIEA ayant pour mission de promouvoir les usages pacifiques de l'énergie nucléaire. Pourtant de nombreuses organisations dénoncent les accords entre l'OMS et l'AIEA: www.independentwho.info ! ! !).

 Les institutions et lobbies du nucléaire et de l'agroalimentaire ont, ici aussi, plus de poids que la santé des personnes, comme bien souvent malheureusement.
 
            L'usage et la prolifération de cette technologie posent également des problèmes socio-économiques et environnementaux. La délocalisation des productions pénalise l'emploi et l'économie locale. Le fonctionnement  d'installations et le transport de matières nucléaires sont des activités à risque. Les modes de production et de distribution industriels de masse induisent pollutions, changement climatique, atteinte aux milieux naturels et à la biodiversité. La spécialisation des productions dans l'agriculture conduit à l'extension de monocultures et de la culture intensive, qui compromettent encore davantage la souveraineté alimentaire des peuples de la planète.

Dans l'Union européenne, deux directives déterminent la liste des produits pour
 lesquels l'irradiation est autorisée (ce sont :les herbes aromatiques séchées, épices et condiments végétaux) et l'obligation d'étiquetage. Mais des dérogations existent dans les différents pays de l'Union, notamment en France, qui autorise par ailleurs l'irradiation de nombreux produits : Oignon, ail, échalote, légumes et fruits secs, flocons et germes de
céréales pour produits laitiers, farine de riz, gomme arabique, volaille, cuisses de grenouilles congelées, sang séché et plasma, crevettes, ovalbumine, caséine et caséinates (additifs alimentaires).
 
            Les contrôles effectués par les États membres sont très insuffisants. Les 10 pays disposant d'installations d'irradiation ne communiquent pas tous correctement leurs données, voire ne divulguent aucune information sur les volumes et les catégories de produits traités, comme l'Espagne et l'Italie. Les contrôles au stade de la commercialisation sont incohérents, disparates, variant d'une année à l'autre et d'un pays à l'autre, et sans règles communes, malgré un taux de fraudes constatées en augmentation constante (4 % en moyenne en 2005).
 
            En France, les quelques contrôles réalisés attestent une hausse continue de produits irradiés commercialisés illégalement, jusqu'à 7 % en 2005 et 10 % en 2006. À ceci s'ajoute que les méthodes de contrôle sont peu fiables. En réalité, nul ne connaît le volume des aliments irradiés effectivement commercialisés !
 
            En fait, l'autorisation de l'irradiation des aliments par le Codex alimentarius fait peser sur les pays de l'Union européenne la menace d'une plainte de pays tiers devant l'Organisme de règlement des différends, à  l'OMC, pour refus d'importation de produits irradiés. D'où, probablement, le peu d'empressement des pays de l'Union, et notamment de la France, à effectuer des contrôles.  L'usage de l'irradiation des aliments se développe à travers le monde. Une soixantaine de pays l'autorisent, et plus de trente pays la pratiquent. On assiste à une véritable explosion du nombre des installations d'irradiation dans les pays à fort développement (Chine, Inde, Mexique, etc.), tandis que les Etats-Unis signent des accords bilatéraux spécifiques pour l'échange de produits irradiés.
 
             Le Collectif français contre l'irradiation des aliments a interpellé en novembre 2007   4 commissaires européens et 4 ministres français, en s'appuyant sur sa lecture critique du rapport de l'Afssa et sur des questions à la DGCCRF. Pourl'heure, seul Michel Barnier, ministre de  l'Agriculture, a répondu, sans apporter réellement de réponse. Une raison de plus pour privilégier les fruits et légumes de saison et de proximité, les produits locaux de l'agriculture paysanne, les achats directs au producteur, à la ferme, sur le marché ou dans des Amap. Pour les productions de taille modeste, distribuées localement, l'irradiation n'a pas lieu d'être et ne se justifierait pas économiquement. Quant au cahier des charges de l'agriculture biologique, il interdit l'irradiation.

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