L 'antre de Virginie et compagnie

Ce soir à 20h35 sur France2, un magazine présenté par Marie Drucker, en direct est diffusé. Le titre est un soir pour la Terre : le film.

Ce programme est diffusé à l'occasion du sommet Copenhague (voir mon article) qui vient de s'ouvrir et se déroulera jusqu'au 18 décembre.
Yann Arthus-Bertrand et son équipe se sont rendus dans différentes régions du globe où les effets du réchauffements climatiques, quoiqu'en disent certains, se font déjà sentir.
Ils se sont rendu notamment au Bangladesh où des îles ont disparu, englouties par la montée du niveau de la mer. Ils sont aussi allés plus près de nous, an France, en Camargue où on commence à ressentir la montée du niveau de la mer également.Et bien d'autres sujets concernant par exemple le Mali où son président, Amadou Toumani Touré, explique comment il peut agir contre la sécheresse et l'avancée du désert. Presque toute les partie du globe sont touchés par ces changements climatiques. Par exemple en Australie, des fermiers sont contraints de vendre leurs exploitations et l'eau commence à manquer. En passant par l'Arctique, les Alpes, les neiges du Kilimandjaro, on ne peut que constater la fonte inexorable des glaciers....

L'un des aspects important développé dans ce magazine est l'eau. Elle est vitale pour l'homme et espérons qu'elle fera parti des problématiques évoquées par ce sommet de l'ONU sur le climat.
En effet après le pétrole, l'eau potable pourrait devenir l'enjeu majeur du siècle. La raréfaction de cette ressource pourrait créer des tension dans plusieurs points du globe et certains se demandent même si l'eau ne sera pas dans l'avenir une source de conflit.
Le problème concernant l'eau est sa gestion. En effet , au 20ème siècle, la population a été multiplié par 3 mais la consommation de l'eau a été multiplié par 6 , et les réserves d'eau douce sont insuffisantes.

De +, il existe un problème de répartition et une inégalité criante dans l'accès à ce bien essentiel. Si pour nous cela est ordinair, il nous suffit d'ouvrir le robinet pour la voir couler, pour d'autres, elle est rare. Quand des régions entières vivent dans l'abondance de cette ressources (Canada, Pérou, Islande...), d'autres sont dans le besoin (Afrique, Mauritanie...).
La répartition de la population et donc son hétérogénéité joue aussi son rôle. L'Asie concentre 60 % de la population mondiale mais ne dispose et ne profite que de 30 % des ressources disponibles en eau douce. Certains pays d'Afrique subsaharienne notamment ont moins des 1700 mètres cubes d'eau par an et par habitant.
D'après l'ONU, 1,2 milliard de personnes n'ont pas accès à l'eau et 2,5 milliards de personnes ne disposent pas de techniques d'assainissement c'est à dire d'eau propre à la consommation. Et malheureusement ce triste constat risque de s'accentuer d'une part avec l'essor démographique et d'autre part le réchauffement climatique qui entraîne des périodes de sécheresse dans des zones déjà arides par exemple.

Le problème pourrait être surmontable avec des infrastructures adéquats et surtout une bonne gestion de l'eau. Mais pour ce faire, il faut des moyens financiers à la hauteur des besoins.
La consommation de l'eau par habitant est l'indicateur de la viabilité économique d'un État. Prenons l'exemple des pays du Golfe, qui ne disposent que de très peu d'eau douce, ils ne connaissent pas de pénurie d'eau, car ils ont les moyens financiers permettant de recourir au dessalement. Malheureusement les pays les + pauvres sont dépourvus d'installations et on assiste à des situations que l'on peut juger tout bonnement scandaleuses. En effet 1,6 million de personnes meurent chaque année du manque d'eau ou d'hygiène. Pourtant, en Afrique, seulement 4% des réserves en eau sont exploitées.

Triste de ce constat, la raréfaction de l'eau douce immédiatement disponible semble inévitable et les 1ers pays à être touchés seront, malheureusement, ceux qui souffrent aujourd'hui déjà, d'un accès insuffisant à l'eau. Cela pourrait même attiser des tensions comme par exemple :
- la situation autour du fleuve Kaviri : c'est dans le sud de l'Inde
- entre Isrël et la Palestine pour le partage des eaux du Jourdain
- en Asie centrale avec la cas dramatique de la mer d'Aral
- dans l'Est de l'Afrique qui est confrontée à une sécheresse que l'on peut qualifier de persistante
- dans le bassin du Nil également
Si rien n'est fait pour aider ces populations, le malaise va s'aggraver et pourrait dégénérer en conflit.

En résumé, l'accès à l'eau potable pour tous s'annonce bien comme l'un des défis du 21ème siècle pour la communauté internationale. Espéront que les dirigeants des différents pays en ont réellement conscience.

Saint Nicolas est le saint patron et protecteur des petits enfants, il est devenu aussi celui de la Lorraine.
Il est fêté tous les 6 décembre. On retrouve des festivités de la Saint Nicolas surtout dans l’Est de la France, mais aussi et dans le Nord de la France, et également dans quelques pays d’Europe.

Il semblerait que la légende du Père Noël ait été créée à partir du personnage de Saint Nicolas.

L’histoire raconte  que le personnage de Saint Nicolas est inspiré de Nicolas de Myre, également appelé Nicolas de Bari. Il est né à Patara, en Asie Mineure, entre 250 et 270 après J-C, et décédé le 6 décembre, en 345 ou en 352, dans la ville portuaire de Myre en Asie Mineure. Il fût Evêque de Myre au 4ème siècle. Sa vie et ses actes sont entourés de légendes.Je vous renvoie à mon article  écrit l'année dernière sur Saint Nicolas.

Ce fut l’un des saints les plus populaires en Grêce et dans l’Eglise romaine.

Après sa mort, Saint Nicolas a alimenté une multitude de légendes qui reflètent sa personnalité généreuse.

Chaque épisode de sa vie a donné lieu à un patronage ou une confrérie d’un métier ou d’une région. C'est pourquoi on le retrouve beaucoup.

C’est aussi l’un des saints le plus souvent représenté dans l’iconographie religieuse. On le retrouve sur les vitraux des églises, dans les tableaux, représenté en statue, sur les taques de cheminée,  dans les dessins des images d’Epinal, etc…

Saint Nicolas, dans son costume d’évêque, est très souvent représenté avec un personnage sinistre, diront certains, qui fait peur aux petits enfants très souvent : le père Fouettard. 
Le père Fouettard est tout vêtu de noir, avec un balai ou un martinet. Il n’a pas le beau rôle si je puis dire, car il est chargé de distribuer les coups de trique aux vilains petits enfants, aux petits garnements, aux enfants qui n'ont pas écouté leurs parents.

La Saint Nicolas est aussi l’occasion pour les enfants de recevoir des cadeaux, trois semaines avant que le Père Noël ne passe dans les cheminées. A l'époque de mes parents, Noël et sa profusion de cadeau n'existait pas en temps que tel, comme nous le connaissons aujourd'hui. En fait c'est à la Saint Nicolas qu'il recevait leurs cadeaux. Noël conservait + son caractère religieux. La veille de la Saint Nicolas, mes parents et tous les enfants de la région,  plaçaient leurs souliers devant la cheminée avant d’aller se coucher. Ils déposaient aussi à côté de leurs chaussures, une carotte et des sucres pour la mule du Saint Nicolas et un verre de vin pour réchauffer le grand saint. Cela ne vous rappelle rien ! ! !

Depuis le XIIe siècle, on raconte que Saint Nicolas, déguisé, va de maison en maison dans la nuit du 5 au 6 décembre pour demander aux enfants s’ils ont été obéissants. Les enfants sages reçoivent des cadeaux, des friandises et les méchants reçoivent une trique donnée par le compagnon de Saint Nicolas, le Père Fouettard.

La Légende de Saint Nicolas veut que le saint ait ressuscité trois petits enfants qui étaient venus demander l’hospitalité à un boucher. Celui-ci les accueillit et profita de leur sommeil pour les découper en morceaux et les mettre au saloir. Sept ans plus tard, Saint Nicolas passant par là, demande au boucher de lui servir ce petit salé vieux de sept ans. Terrorisé le boucher prit la fuite et Saint Nicolas fit revenir les enfants à la vie.

Cette légende est même illustrée dans une chanson (article de l'année dernière avec la chanson et les paroles pour ceux que cela intéressent)

C'est ainsi que Saint Nicolas devint le patron des écoliers et petits garçons.

Bien que la scène soit, malheureusement, assez étroite par rapport à certains tableaux, pendant plus de deux heures nous avons vu évoluer ses artistes.
Ils sont beaux, jeunes, très jeunes même pour certains.
Avant tout, ce sont des acrobates. Ils arrivent à se contorsionner dans toutes les positions, aussi bien en haut d'une échelle que dans un seau. Le grand écart ou l'équilibre sur une main en supportant d'autres partenaires est pour eux monnaie courante. Et ce cour le plus grand plaisir de mes Loulous.

Les numéros sont de toute beauté. Bien que cela soit en soirée, Amàlia était subjuguée, debout sur mes genoux pour ne pas en manquer une miette. Que de commentaires de sa part, des oh, ah, etc. Elle dansait même en suivant la musique et applaudissait. Ma puce tout comme mon grand se sont régaler.

Ces artistes nous ont proposé des numéros de jonglage avec cerceaux, assiettes, bougies.  Ils faisaient tenir en équilibre sur leur tête, leur jambes... Une jeune fille fait même tenir un 20aine de verre sur son nez,une autre maintient sur son nez toujours 4 oeufs aligner au bout d'une tige et ce sans les casser, une autre des chandelles allumées....

On a assisté à un ballet d'assiettes, certes que beaucoup connaissent, mais c'est tellement impressionnant de les voir faire, et de non seulemetn les maintenir mais de faire des contorsion, des roulades ou autres.
Nous avons même eu des acrobaties à vélo se terminant par une pyramide humaine
Le clou du spectacle, pour moi , fut le numéro des chaises où la plus haute des équilibriste à les pieds qui touchent quasiment le plafond du la scène.

A la fin du spectacle, ils ont eu droit à un tonnerre d'applaudissements, amplement mériter.

Ce fut une magnifique et très agréable soirée, un grand moment de joie et de plaisir,  qui a fait oublierun peu, à mes loulous, l'absence de leur père.

La chair du radis noirs est ferme, croquante et relevée, plus ou moins piquante.

On le mange le plus souvent cru.
En entrée c'est très bon, enfin il faut aimé.
On peut par exemple :
- le couper en fines rondelles avec du sel et du beurre,
-  le râper et le servir avec une vinaigrette
- le râper et le mélanger avec de la carotte râpée, cela fait un peu de couleur et une vinaigrette
-  le râper et le mêler à une salade composée.

On peut aussi le consommer chaud, ou le mettre dans la soupe....

Dans l’antiquité, les romains consommaient le radis cuit comme un navet.

La chair du radis est très riche en vitamine C.